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Les Ondes Sauvages

by LiLo Loswarn

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1.
Le fleuve 05:24
Longtemps j’ai cru être au dessus... Je volais et riais de vous voir tout en bas. Mortels affairés, agités, occupés... à bâtir l’éphémère. J'étais si sûr de moi, je m'y voyais déjà, le chemin tout tracé, balisé. Confiant en ma valeur j’attendais là mon heure, puéril imaginaire… j’oubliais dans mon plan de passer à l'action. J’ai tellement attendu d’être prêt à me mouiller Qu’au moment du plongeon le temps m’a rattrapé... Dans le fleuve qui emporte, telles des branches perdues, les illusions d’acquis et les égos moqueurs. J’ai tellement attendu d’être prêt à me mouiller Qu’au moment du plongeon le temps m’a rattrapé... C’est un fleuve tumultueux et, pris dans son courant, la branche que l'on attrape tire d’innocentes racines, la roche que l’on accroche fait glisser le terrain... Laissons-nous porter sans chercher à rattraper la rive. Laissons-nous glisser sans vouloir choisir sa trajectoire. Tu es riche de ce que tu donnes, de c'que tu abandonnes. Le Fleuve n'emporte à la mer que ce qui est léger !
2.
La lumière 05:20
"Jusqu'à ce que je me dissolve dans l'énergie du chaos en une brume de particules subatomiques" je continue à capter les ultra-violets… La vie est là, en pleine lumière, la vérité première. La vie est là, éphémère, sous les rayons solaires. > comme une évidence, sans l'ombre d'un doute, une rémanence qui t'envoûte > je continue à me nourrir de l'énergie de ce soleil, à absorber les infra-rouges fasciné par cette lumière, rayons cosmiques qui me traversent…
3.
Le temps 07:19
Parfois c'est le mercure qui ne redescend pas, éloigne le futur au moindre de tes pas. Te colle à ton présent comme une montre arrêtée, transpirant d'impatience pour demain. Et plus tard c'est le gel qui te prend dans ses griffes, en retenant tes ailes dans ce froid bien trop vif. Réduisant au silence tes doigts voulant jouer avec un instrument trop dur à faire sonner. Reste à savoir ce qui compte pour le reste du temps Tournons notre énergie vers ce qui est important. Maintenant c'est la fièvre qui te dicte sa loi, et écrase sur tes lèvres les élans de ta voix. Tu te bats et te lèves mais n'arriveras à rien la douleur et les rêves sont bien comme chat et chien. Et puis il y a l'argent que tu dois amasser si tu veux te donner les moyens des plus grands. Là encore c'est du temps pris sur ton capital, ton énergie vitale, recharge en avançant… Reste à savoir ce qui compte pour le reste du temps Tournons notre énergie vers ce qui est important. Veux-tu savoir ce qui compte depuis la nuit des temps ? Ne pas perdre un instant pour inventer le présent. Parfois c'est le mercure qui ne redescend pas, Et plus tard c'est le gel qui te prend dans ses griffes, Maintenant c'est la fièvre qui te dicte sa loi, Et puis il y a l'argent que tu dois amasser… Un grand sage l'a dit: Notre erreur est de croire que nous avons le temps… Reste à savoir ce qui compte pour le reste du temps Tournons notre énergie vers ce qui est important. Veux-tu savoir ce qui compte depuis la nuit des temps ? Ne pas perdre un instant pour inventer le présent.
4.
La nuit 04:52
Que cette nuit est longue... Nuit polaire en avance. Des mois sans voir le jour, ce souvenir d’enfance... L’obscurité est là, mon unique compagne Alors je la chérie, je l’interroge. Pourrait-on faire la différence entre une vie et une errance ? Et inlassablement elle me répond “Patience”. Alors encore j’attends... Et rêve d’un soleil dont ma peau se souviens, d’une lumière totale... Et sans l’ombre d’un doute. Pourrait-on faire la différence entre une vie et une errance ? Si jamais la nuit devait nous retenir en son silence… Rêver est si facile quand on renonce à tout. L’éveil n’est plus qu’un songe, rien n’est construit le jour. La nuit ne répare plus, quand l’épuisement m’allonge Comme un boxeur fini, quand je me fais descendre, Et que défile ma vie, je me dis que demain Je pourrais, dans un cri, renaître de mes cendres... Car il le faudra bien... Un jour ! Pourrait-on faire la différence entre une vie et une errance ? Si jamais la nuit devait nous retenir en son silence, nous maintenir en décadence…
5.
Le message 04:52
Mauvais Karma, autour de moi, soit je m'engage, soit je dégage. Quel est mon rôle, quelle est ma voix ? J'aimerais tourner la page. Et ce flot lourd de connaissances qui se déverse dans nos consciences… Des solutions et de l'action, courir le monde, aider les gens. Ou développer tous mes talents, donner du sens au vivant ? Regardant droit vers l'horizon, rien ne doit troubler ma vision. Si j'ai le moindre pouvoir sur Terre, que ce soit l'art qui nous libère ! Circonvolutions des couleurs de l'arc-en-ciel en tons pastel. Myriade de notes se déversant en cascades symphoniques, libératrices... Si au cours de toute mon existence, j'arrive à éveiller une seule conscience, si j'ai le moindre pouvoir, que ce soit l'art qui nous libère et nous rapproche… Circonvolutions des couleurs de l'arc-en-ciel en tons pastel. Myriade de notes se déversant en cascades symphoniques. Tout c' que l'on crée là où l'on existe est un message au monde.
6.
La jeunesse 04:55
Être toujours à la recherche de la recette de sa vie et garder son désir intact malgré la longueur du parcours. Eternel recommencement, vertus de l'échec... Avoir tenté tant de formules sans pour autant perdre l'envie. La multitude des possibles, réalité qui rajeunit. Eternel recommencement, vertus de l'échec... Volonté d'accomplissement, erreurs… erreurs… erreurs de jeunesse. Être toujours à la recherche de la recette de sa vie et garder son désir intact malgré la longueur du parcours. Avoir tenté tant de formules sans pour autant perdre l'envie. La multitude des possibles, réalité qui rajeunit. Tant que tu n'auras pas renoncé, gardant ce besoin de créer, il y aura dans ton regard cet éclat qui veut dire: "encore" !
7.
La paix 06:11
Saturé d'émotions, j'aspire à une pause, et je dois restaurer en moi toutes les forces. Je n'ai plus d'intentions, je n'ai plus d'ambitions. Je me détache enfin, que le vent les emporte ! Regarde-moi, je suis en train de lâcher prise. Je me recentre enfin et vide mon esprit. Attentes et frustrations avaient pollué mon âme alors j'ouvre les vannes, que le fleuve les emporte ! Si tu veux apaiser le monde qui t'entoure, il te faut sans juger montrer ton meilleur jour. Si elle n'est pas en toi la paix n'est nulle part. Si elle n'est pas en toi la paix n'est nulle part, nulle part... Ne te laisse pas gagner par le chaos ambiant, Si elles sont toujours là, toutes ces interférences. tu dois t'en isoler et te laisser porter… Tu seras préservé, et pour t'y préparer il faudra méditer ! Si tu veux apaiser le monde qui t'entoure, il te faut sans juger montrer ton meilleur jour. Si elle n'est pas en toi la paix n'est nulle part. Si elle n'est pas en toi la paix n'est nulle part, nulle part... C'est ta sérénité en toute situation qui fera la différence. Agis sans émotion et avec bienveillance. Inscris-toi en ce monde à l'encre indélébile. Traverse ton espace/temps dans un vaisseau tranquille. C'est un combat de chaque instant qu'il faut mener mais contre un ennemi qui se cache bien en toi à tout instant, animale, la rage peut ressurgir, alors inspire et n'oublie pas de sourire…
8.
Le sens 04:22
T'as essayé dans tous les sens, ton espoir est immense. À tous les coups tu rythmes bien la danse. T'as essayé toutes les fréquences, mis à bout ta patience. As-tu atteint ton seuil de résistance ? Essaies-tu encore ? Apprêtes-toi à aborder des sujets difficiles. Il est temps d'accoster les terres hostiles… Car le temps passe et avec lui on ne négocie pas. La partition s'écrira même sans toi... Mais tu ne crains rien, tu sais qui tu es... Tu as bien entendu: Les leçons, les raisons, les violons... Donne un sens à ta vie. Avec le temps pas d'arrangement, le tempo ne bouge pas. car l'univers dicte les lois du temps. Mais tu ne crains rien, tu sais qui tu es... Tu as bien entendu: Les leçons, les raisons, les violons... Donne un sens à ta vie. Mais tu ne crains rien, tu sais qui tu es... Tu as bien défendu: tes idées, tes visions, tes raisons, ce qui donne un sens à ta vie !
9.
L'attente 04:26
Rien à envier, à convoiter, j'ai tout c'qu'il faut, là. Besoin de rien, non, sauf... D'un instant, d'un mouvement, hors du temps J'attend mon heure… Rien à renier, à regretter de ces années... envolées. Pourquoi ma montre est-elle figée ? Un instant, un mouvement, hors du temps J'attend mon heure, mon projecteur... Rien à tirer, à exploiter de mon savoir... faire. Outils rouillés, abandonnés. un instant, un mouvement, hors du temps me sortant de ces ruines, me tirant d'un abîme, sables mouvants de mes tourments, m'aspirant… J'attend mon heure, mon projecteur, un éclair d'ailleurs, un vent violent et salvateur pour m'emporter sur les hauteurs auxquelles depuis toujours aspire mon être...
10.
La ville 05:02
J'ai grandi dans une ville où s'oublie la beauté de ce jour qui se lève. J'ai grandi dans une ville qui s'éveille en oubliant ses rêves. J'ai pas connu les îles et les matins tranquilles à marcher sur la grève. On s'entasse dans les trains, les bureaux et les grèves et on ne donne pas à l'artiste qui se crève à nous rappeler… Qu'on vaut bien mieux que ça ! J'ai pas les pieds sur terre et j'en suis fier. à quoi bon rester planté là, entre la peste et le choléra ? Le béton coule et fige les foules, collées aux moule à l'effigie des nouvelles stars. Jeunesse plantée dans des pots vides vouée aux idoles et aux subsides. Et je rêve d'une île où croire à la beauté de ce jour qui se lève. Et je rêve d'une ville où s'anime la folie de mes rêves. Et je rêve d'une vie dans laquelle on s'élève à rebâtir ensemble les liens qui nous unissent, mais on ne donne rien à l'artiste qui s'épuise à nous rappeler… Qu'on vaut bien mieux que ça ! J'ai pas les pieds sur terre et j'en suis fier. à quoi bon rester planté là, entre la peste et le choléra ? Le béton coule et fige les foules, collées aux moule à l'effigie des nouvelles stars. Jeunesse plantée dans des pots vides vouée aux idoles et aux subsides. J'ai pas les pieds sur terre et j'en suis fier. à quoi bon rester là ? J'ai pas les pieds sur terre, mais je vis dans une ville...
11.
L'avenir 09:35
Nous avions tout pour devenir… Nous épanouir, nous découvrir. Mais la puissance a fait outrance, a fait la place à la démence. Ainsi partirent toutes nos chances de continuer à évoluer… De devenir les dieux glorieux que nous avions inventés. S'il est ailleurs cet avenir, s'il faut tout rebâtir, n'oublions rien de nos délires, nos éphémères empires. S'il est ailleurs cet avenir, s'il faut tout reconstruire… Encore. Alors demain, sur le départ, heureux humains, dernier espoir. Les soutes pleines de jeunes graines, à l'esprit libre et sans histoire. Accompagnés vers leur futur sans aucun culte... que l'aventure ! Pour devenir les dieux glorieux que nous avions imaginés. S'il est ailleurs cet avenir, s'il faut tout rebâtir, n'oublions rien de nos délires, nos éphémères empires. S'il est ailleurs cet avenir, s'il faut tout reconstruire… Encore. Même si tu joues à pile ou face rien sur le tableau ne s’efface Il faut assumer ton passé pour avancer. Même si tu joues à pile ou face rien sur le tableau ne s’efface Il faut comprendre ton passé pour avancer. Si nous envoyons dans l’espace des hommes infinis. L’espace d’un instant que le doute s’installe… Sommes-nous prêts à essaimer ? Même si tu joues à pile ou face rien sur le tableau ne s’efface Il faut assumer ton passé pour avancer. Quoi que tu fasses il y aura une trace. Connais ta place et découvre tout l’espace…
12.
Quand je vois où tout ça nous a mené, je préfère m'évader… Dans ces grands romans d'anticipation qui me font tant rêver, on y voit une humanité grandie, en route vers l'infini. Enfin unie, pour la vie. Débarrassés de nos peurs ancestrales, et des superstitions nous emprunterons les routes astrales loin de nos religions. Notre destin ne sera plus dicté par les livres anciens. Bien trop anciens, nos livres saints... saints d'esprit ? Vers d'autres mondes aussi riches que notre imagination il nous faudra voyager au-delà de la raison... Surfant sur les ondes gravitationnelles nous nous donnerons des ailes. Comme toujours c'est notre imagination qui nous aura sauvés. Pas de sauveur, pas de prières, pas d'excuse ! Vers d'autres mondes aussi riches que notre imagination il nous faudra voyager au-delà de la raison... Pour évoluer et danser sur des vagues inconnues Il ne nous reste plus qu'à franchir les abîmes de nos peurs, les limites de nos sens, nous affranchir de l'orgueil, qui a tant réduit nos chances, notre instinct dominateur, et puis tourner le dos aux horreurs, et faire de la connaissance notre seule et vraie croyance…
13.
Tu avais passé l’hiver... tu t’étais bien battue ! Je n’avais rien pu faire, comme de bien entendu. Mais l’ascenseur s’est ouvert une dernière fois... C’est fini, pleure mon frère. Mais la peur s’est glissée une dernière fois... Il n'y avait rien à y faire. Je me dirige quand-même vers ta chambre déserte... Les yeux hagards d’un père me freinent dans mon élan. Tu n’y es plus, c’est sûr et certain. Coups de poing dans un mur, Cris de rage inutiles coincés dans la gorge, Je ne te verrai plus ! Maintenant il faut rentrer, va falloir l'accepter. J'pourrais aussi tout casser, le silence retarder Tu avais passé l’hiver... Tu t’étais bien battue ! Je n’avais rien pu faire, rien pu faire… Maintenant il faut rentrer... ouais, va falloir l'accepter. J'pourrais aussi tout casser, le silence retarder, ce silence… Mais je vois au loin, éternelle, une étoile briller !
14.
L'espoir 05:04
15.
Je suis près du but, resté connecté. Toujours à l'affût de ma liberté, toutes mes armes bien à portée de main. Dans tout ce raffut, rester concentré. Ne pas laisser mon esprit dériver. Les années m'ont appris à résister à ça... Alors même si dans ce chaos rien n'a plus de sens, je continue sur ma lancée, je poursuis l'expérience. Les saisons passent, noyé dans la masse de tous les sons produits par l'univers, mais la question n'est plus de savoir qui m'entend… Instinct de survie ou simple courage, j'ai fait le choix de rester qui je suis. Je fais ma part, et l'offre au monde… Alors même si dans ce chaos rien n'a plus de sens, je continue sur ma lancée, je poursuis l'expérience. En pleine conscience… La lucidité n'est pas mon alliée, mais je ne vais pas céder aux sirènes qui me chantent de renoncer… d'oublier ! Alors même si dans ce chaos rien n'a plus de sens, je continue sur ma lancée, je poursuis l'expérience. Sur ma lancée, surentraîné, vers la délivrance. C'est ma part, c'est mon art, j'ai encore cette chance, alors… Si tout notre monde s'enrage, sous le règne de la discorde, j'invoquerai les ondes sauvages, je ferai vibrer toutes mes cordes… Quand tous les esprits s'opposent, écoutons ces accords le temps d'une pause. Oublions ces désaccords, retrouvons notre osmose. Vibrations… Célébration de la vie ! Toute ma vie je l'ai voulue, cette paix, cette inconnue. Un combat contre moi-même pour trouver la voie... la voie au fond de moi. Avec toi, oui avec toi, je ne peux rien sans toi… Viens, tends-moi la main !

about

15 compositions guitare en accord ouvert de Do

credits

released June 30, 2017

Written, recorded, arranged, mixed & mastered by Loswarn

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LiLo Loswarn Paris, France

Self-taught guitarist, song-writer, composer and arranger LiLo Loswarn produces inspired music for open-minded and passionate people. You've been warned !

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